La fin du chapitre de l'amant.
Je tiens à te remercier, toi, lecteur anonyme qui a suivi mes aventures amoureuses et érotiques au pays des amants. J'ai vécu l'hiver le coeur en clandestinité. Le printemps a officialisé ce que les draps, les sous-vêtements, les serveurs sms et les voisins savaient depuis longtemps. J'aime un ange... qui fût ma maîtresse et que je prendrai bientôt pour femme.
C'est la fin du premier chapitre de Paris Baobei. Une chronique d'amants. Une soupape à émotions incontrôlées. Un catalogue à sentiments. Enfin, Mi-Mi a pris son encre de chine pour calligraphier notre futur, laissant son passé à la dérive. Nous vivons de plus en plus notre histoire en Extérieur Jour, sans plus jamais imaginer que son intérieur nuit à ma santé.
Bien sûr, son morpion officiel s'accroche aux quelques poils de culpabilité qui lui restent, mais la liberté est une anguille que l'on ne pêche pas avec une alliance.
Je ne suis pas mécontent d'assister aux obsèques de ma vie transitionnelle, Il y a pourtant un dommage collatéral à cette situation. Dois-je arrêter Paris Baobei ?
J'attends vos commentaires, chers lecteurs incongito !